• Un certain Bertrand Du Guesclin ( François Farley )

    novembre 2005     286 p.     18,50 €

           Qu'advint-il de la France après Les Rois Maudits? Ce fut Le Siècle de Guerre... Voici racontée la Guerre de Cent ans, non pas comme une longue succession de batailles et de traités, mais comme un immense récit dramatique peuplé de personnages à la fois naïfs et brutaux, ayant peine à contraindre leur sauvagerie naturelle, malaxés entre les règles que la religion tente de leur imposer et des pulsions restées barbares. Quelle fabuleuse galerie de personnages! Philippe VI, le roi trouvé, Jean le Bon que l'on dit Bon parce qu'on le supposait brave; Bertrand du Guesclin, cet obscur chevalier breton de toute petite noblesse, Jeanne de Bourgogne, reine de France méchante et cruelle; Charles le Mauvais, roi de Navarre qui n'usurpait pas son surnom, Edouard III d'Angleterre, assoiffé de grandeur et de butin. Ce sont là les premiers protagonistes de cette guerre sans fin, ceux qui l'ont souhaitée et nourrie. Ecrivant l'Histoire comme un roman, brossant des portraits au réalisme saisissant, Francis Farley raconte magistralement l'histoire de ceux qui ont fait cette guerre. Il a voulu les rendre vivants et chercher leur humanité derrière la démesure. Un pari réussi puisqu'il nous livre un récit captivant, rempli de passions et de drames. Une grande saga qui fait aimer l'Histoire.  

                         

     

        Francis Farley est l'auteur de Jeanne et Félix ainsi que des Etangs de Marrault, qui a obtenu le " prix littéraire du Morvan " et le prix " Effort des hommes ".


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  •  Histoire de Bertrand du Guesclin - Connétable de France GUYARD de BERVILLE

    2002, 240 pages, 19 euros

    Ce récit enlevé redonne vie à l'une des plus valeureuses figures de la chevalerie française, Bertrand du Guesclin. Au service du roi de France Jean le Bon depuis 1357, le chevalier se fait remarquer en battant le roi de Navarre à Coquerel, et se voit charger par le nouveau roi Charles V de débarrasser le pays des Grandes Compagnies. Nommé Connétable en 1370, à la tête des armées françaises, du Guesclin dirige alors les opérations contre les Anglais qu'il parvient à chasser de Normandie, du Poitou et de Guyenne, et périt au combat en Bretagne en 1380. Charles V le fait inhumer dans la nécropole royale de Saint-Denis, et y rejoint la même année son "cher connétable".


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  • Du Guesclin (Georges MINOIS)

    septembre 1993     518 p.    25 €

         Du Guesclin est l'une des figures les plus attachantes de la guerre médiévale. Prodigieusement laid et doué d'une force peu commune, il se distingue très tôt comme un redoutable combattant.
         La guerre de Succession de Bretagne et la guerre de Cent Ans vont fournir à ce petit noble breton des conditions idéales pour exercer ses talents de chevalier : pendant quarante ans, il chevauche et guerroie de Cherbourg à Séville et de Brest à Tarascon. Simple chef de partisans dans la forêt de Brocéliande, il connaît ensuite une ascension sociale spectaculaire, qui fait de lui un connétable de France, le familier des princes et des rois, l'ennemi personnel du Prince Noir et de Charles le Mauvais. Loyal, habile et courageux, mais aussi brutal et impitoyable, le connétable n'a qu'une passion : la guerre.
        Le rôle de Du Guesclin dans l'histoire militaire tient à sa capacité d'innover, d'inventer des ruses, de s'adapter aux circonstances pour surprendre l'ennemi. il sait concilier les exigences de la guerre chevaleresque et le réalisme de la guerre de mercenaires. Cet infatigable soldat débarrasse ainsi la France des grandes compagnies, place Henri de Transtamare sur le trône de Castille, chasse les Anglais de France. Mais sa fidélité indéfectible envers Charles V le met dans une situation difficile face à ses compatriotes bretons, et c'est en Lozère qu'il mène ses derniers combats, plutôt que de guerroyer contre les siens.
     

                                           Sommaire :

    •    En Bretagne vers 1320
    •    Jeunesse d'un bagarreur (1320-1341)
    •   Guerre et guérilla : le gogue noir de Brocéliande (1341-1353)
    •   Du Guesclin et la guerre au XIVe siècle
    •   Bertrand sort de l'ombre (1353-1357)
    •   Le capitaine de Pontorson (1357-1360)
    •   L'impossible paix (1360-1363)
    •   Le triomphe de Cocherel (16 mai 1364)
    •   Le désastre d'Auray (29 septembre 1364)
    •   Les dessous d'une étrange croisade (janvier-octobre 1365)
    •   Châteaux en Espagne (octobre 1365-fin 1366)
    •   L'année du Prince Noir (1367)
    •   La deuxième guerre d'Espagne (1368-juin 1370)
    •   Connétable de France (1370)
    •   La reconquête du Poitou et de l'Aunis (131-1372)

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  • 1992

    Le destin de Bertrand Du Guesclin est sans équivalent dans l'histoire de France. Ce fils de modeste chevalier breton, mal aimé de ses parents, disgracieux, analphabète et querelleur fut successivement chef de bande dans la forêt de Brocéliande, capitaine souverain pour le duché de Normandie, duc de Trastamare et bientôt bras armé du roi Charles V. En mai 1364, il triomphe à la célèbre bataille de Cocherel, et installe un nouveau monarque sur le trône de Castille à l'issue d'un périple espagnol qui tient de l'épopée. Héros hors du commun, celui que l'on appela, à la suite de Charlemagne ou du roi Arthur le " dixième preux ", deviendra le premier personnage du royaume, après le roi, en recevant le titre de connétable de France. Une biographie de Du Guesclin entièrement nouvelle, dépoussiérée des poncifs et des légendes, et qui se lit comme un roman de chevalerie.


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  • Bertrand du Guesclin, fils aîné d'un chevalier breton sans fortune, est parti de rien pour arriver à la légende. Né vers 1320, il n'avait aucune chance de recevoir l'épée de connétable de France, ni d'être l'artisan de l'unité du royaume. Son courage, son intelligence, la perspicacité de sa pensée en firent l'un des plus brillants chevaliers de Charles V.

    De son vivant, il devint un héros de chanson populaire, comme si les Français trouvaient en lui, après les désastres de Crécy et de Poitiers, le symbole du capitaine qui saurait remettre la France debout. Ce professionnel de la guerre, aussi âpre au gain d'argent et de territoires que les chefs des grandes compagnies qu'il combattait, avait pour qualités la loyauté et le courage.

    Micheline Dupuy montre, avec talent, combien celui que nous prenons pour chevalier modèle fut, en fait, un grand politique, dépourvu de préjugés et si doué pour les choses publiques qu'il est enseveli à la basilique de Saint-Denis, comme un "autre" roi de France.


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  • Histoire de Bertrand Duguesclin de Berville

     Réimpression de l'édition de 1881      246 pages     19 €

           Editions Pays & Terroirs 

         Ce récit enlevé redonne vie à l'une des plus valeureuses figures de la chevalerie française, Bertrand du Guesclin.
        Au service du roi de France, le chevalier se fit remarquer en battant le roi de Navarre à Coquerel. Nommé connétable en 1370, à la tête des armées françaises, du Guesclin dirige alors les opérations contre les Anglais qu'il parvient à chasser de Normandie, du Poitou et de Guyenne, et périt au combat en Gévaudan, devant Châteauneuf de Randon, en 1380.
         Charles V le fit inhumer dans la nécropole royale de Saint-Denis, et y rejoignit la même année son « cher connétable ».


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