• 2015, 336 pages, Presses Universitaires de Rennes, 39 euros

    Loin d’être de simples représentations, les images de du Guesclin permettent de mesurer la manière dont évolue la perception du personnage à travers les siècles et comment se construit un imaginaire collectif. À travers la glorification ou le rejet de du Guesclin, que montre-t-on de la société, des valeurs du temps ? Véritable passerelle entre art, patrimoine et histoire, ces images portent la signature d’une époque et d’une mentalité. Elles révèlent finalement l’extraordinaire modernité du Moyen Âge.


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  • Bertrand Duguesclin, entre le lys et l'hermine

    2015, 120 pages

    Synthèse de la vie de Bertrand du Guesclin, remarqué assez jeune par sa force et son habileté dans les exercices physiques, par sa bravoure lors des guerres que se livrent Charles de Blois et les comtes de Montfort, puis lors de la guerre de Cent Ans. A sa mort, sa renommée se répand grâce au poème du trouvère Cuvelier.


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  • 2015, 523 pages, ed. Perrin, 25 euros

    Petit noble d'origine bretonne, Bertrand Du Guesclin offre un exemple remarquable de sauveur improbable. Progressivement révélé par ses coups de main en Brocéliande, ses exploits héroïcomiques sur les remparts de Melun, sa victoire de Cocherel et son aventure espagnole, il est le " bon connétable " qui bouta les Anglais hors de France.


    Mais au-delà des images d'Epinal maintes fois ressassées, est-on sûr de connaître Bertrand Du Guesclin ? Il est aussi l'enfant d'une période agitée, parcourue par la Peste noire et la guerre, emplie de morts mais propice aux ascensions fulgurantes et qui donnera naissance à l'Etat moderne.


    Les recherches modernes permettent de mieux saisir le personnage dans son époque, de l'observer se mouvoir au sein de puissants réseaux de fidélité et de protection, de le deviner avide de gloire et soigneux de sa renommée. Jusqu'à tordre les faits pour mieux la fabriquer ? D'autres s'en chargeront. Du Guesclin est en définitive un personnage multiple et façonné par les sources, dépassé dès son vivant par sa propre légende, et que certains textes érigeront, dès sa mort, en concurrent du roi.


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  • 2015, 101 pages

     

     


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  • Du Guesclin : Les aventures d'un chevalier

    2014, 200 pages

    Voici le trépidant apprentissage d'un chevalier au Moyen Age, ou comment un vrai garnement est devenu un courageux chef de guerre à force de ruse, de courage et de détermination. Nous sommes en 1326, au manoir de la Motte-Broon, en Bretagne. Bertrand du Guesclin a 6 ans. Il est l'aîné d'une fratrie de dix enfants et devrait donc hériter du domaine familial. Mais le petit garçon est si laid, si désobéissant et si bagarreur que ses parents ne jugent pas même utile de l'envoyer à l'école. Livré à lui-même, le petit Bertrand passe son temps à batailler avec les paysans de son âge. Mais un jour, au coeur de la forêt de Brocéliande, il rencontre un vieil ermite qui va lui redonner confiance en lui. Impressionné par la force et l'habileté du jeune garçon, le vieil homme accepte de lui enseigner en secret les valeurs de la chevalerie et le maniement des armes. Le destin de Du Guesclin est lancé. Sa volonté à toute épreuve, sa bravoure et le soutien de ses amis d'enfance, auquel il est resté fidèle, vont faire le reste. Alors que la guerre de Cent ans fait rage, Du Guesclin multiplie les prouesses, gagne ses galons de chevalier, et même le coeur de sa belle...

     


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  • 2013, 176 pages, 18 euros

    Avec une maîtrise certaine dans l'art de raconter l'histoire, Jacques de Certaines entreprend de restaurer la mémoire de Jean de Vienne, injustement resté dans l'ombre de Bertrand du Guesclin, bien qu'on lui doive l'organisation de ce qui sera la Marine nationale. Une biographie croisée recommandée aux amateurs d'histoire.

    Jean de Vienne, amiral de France, et Bertrand du Guesclin, connétable, sont contemporains, ont combattu parfois ensemble pendant la guerre de Cent Ans, mais sont aussi différents que deux grands chefs de guerre peuvent l’être. Si le terrien du Guesclin a su construire une renommée qui n’a fait qu’amplifier après sa mort, le marin Jean de Vienne est resté pratiquement inconnu. Et pourtant, du Guesclin aurait-il obtenu ses glorieux succès contre les Anglais si Jean de Vienne n’avait gagné la suprématie sur la Manche ? Est-il légitime d’ignorer cet amiral qui fut le premier à organiser une véritable flotte de guerre pour le royaume de France ? L’histoire, reconstruite en fonction des idéologies successives, a glorifié Bertrand du Guesclin et ignoré Jean de Vienne. Il est temps aujourd’hui de restaurer la mémoire de celui qui doit être considéré comme le premier fondateur de ce qui deviendra la Royale puis notre Marine nationale.

     


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  • Bertrand du Guesclin, 1320-1380 ( Majorie Stella Coryn)

    1979     318 p.     4,57 € (en Poche)

     


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  • DVD Bertrand Duguesclin

    Fils d’une modeste famille de gentilshommes bretons, Bertrand du Guesclin, batailleur, brillant manieur d’épée et grand séducteur - malgré sa laideur - se fait très vite remarquer pour sa bravoure au combat. Ce qui lui vaudra de prendre la tête de la résistance aux Anglais pour le compte du roi Charles V…


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  • Du Guesclin et Froissart : La fabrication de la renommée ( Bernard Guenée )

    mars 2008     237 p.    25 €

        Bertrand du Guesclin et Jean Froissart sont à peu près contemporains. Le premier, petit noble breton né en 1320, devint connétable de France et chef des armées royales. Ce guerrier aussi doué pour la propagande que pour la bataille s'acquit, de son vivant et après sa mort en 1380, une renommée telle qu'il fit figure de dixième Preux. Le Valenciennois Jean Froissart, né en 1337, clerc fils de marchands, choisit la carrière d'homme de lettres, s'attelant à une grande histoire des guerres de France et d'Angleterre advenues en son temps, où il mit en valeur les prouesses des preux, espérant par là atteindre à une renommée comparable à la leur, en quoi il réussit puisque son œuvre n'a cessé d'être éditée et exploitée depuis plus de six siècles. Du Guesclin et Froissart, chacun dans son domaine, furent les premiers à vouloir se faire un nom, alors qu'ils sortaient de presque rien. Il fallait que la société, en ce XIVe siècle, eût bien changé pour qu'ils y soient parvenus. C'est ce qu'expose Bernard Guenée, après avoir examiné soigneusement les termes par lesquels se dit la renommée : opinion, réputation, notabilité, gloire... Dans une admirable leçon d'histoire médiévale, il fait dialoguer les mots et les choses, les images et les réalités, le chevalier et le chroniqueur, du Guesclin et Froissart.


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  • Un chevalier au Moyen Age : Bertrand Du Guesclin (Alain Dag'naud, Emmanuel Lepage )

    septembre 2008    31 p.   2,80 €

          Biographie de B. Du Guesclin (1320-1380), connétable de France, à travers son parcours et ses faits militaires. Présenté comme le héros de Brocéliande, sa grande entreprise fut d'expulser les Anglais. Avec une définition des mots difficiles.


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